Relativement périmé !

« Ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique: ce ne peut être que par erreur qu’ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement ». Albert Einstein. Si, selon l’expérience fascinante des chercheurs du Cern, qui reste à confirmer tant elle serait révolutionnaire, les neutrinos vont plus vite que la lumière, c’est doncLire la suite « Relativement périmé ! »

Le 194éme Etat

Je sais bien qu’aujourd’hui, 12 millions de français (soit 44% de part d’audimat) se passionnent davantage pour la télé réalité et les tourments culottés de DSQ, (de celui qui se lève tous les matins entre deux érections matinales, en se demandant comment être utile à Israël ) plutôt qu’au sort de quelques millions d’individus victimesLire la suite « Le 194éme Etat »

Principe de superposition

On dit qu’un système est linéaire ou relève du principe de superposition si à la somme de deux excitations correspond la somme des deux réponses correspondantes. Le fils caché du fifrelin entalonné déterminé à lutter contre la charia en Afghanistan et à l’imposer en Libye, cherchez l’erreur, et du préretraité breton de la choucroute AlsacienneLire la suite « Principe de superposition »

Not your business !

J’allume par réflexe la radio d’une main baladeuse comme tous les matins dans un état semi comateux. « 11 septembre ci, 11 septembre là, radote martiale la voix officielle de France culture… Mince, me dis-je, dans un sursaut vital non sans une certaine panique, par quelle contraction du temps suis-je passé du 6/09 au 11/09 sansLire la suite « Not your business ! »

De Trotski à Strauss-Kahn

Il faut se l’avouer, Il y aura eu une certaine dérive de Trotski à Trotskahn De la révolution permanente à la permanente tout court Du commissaire du peuple au commissionnaire du FMI De l’armée rouge à l’Armérique De l’émancipateur du prolétariat au « trousseur de domestique » Du train blindé à blinder le train… Comme uneLire la suite « De Trotski à Strauss-Kahn »

En attendant le vote des citoyens féroces…

Et pendant que l’été irascible déroulait son terrorisme financier, islamophobe, néocolonial et sa justice de classe so british, je lisais. M’épargnant ainsi la mauvaise graisse du storytelling formaté des prompteurs et sa clientèle météo entre deux pâtés de sable. Et finalement, c’est dans la littérature que je trouvais les meilleurs éclairages de cette putain d’actuLire la suite « En attendant le vote des citoyens féroces… »

Les histoires de Tina (même la mort n’a plus d’odeur)

Il était une fois, au Texas, John, un brave type qui bossait dur pour élever sa famille. Il prenait son enbauche dans la salle de contrôle climatisée à 13H GMT.  S’installait dans son fauteuil ergonomique, ajustait son micro écouteurs puis se concentrait sur son écran tactile, empoignant d’une main son joystick tout en avalant quelquesLire la suite « Les histoires de Tina (même la mort n’a plus d’odeur) »

Les histoires de Tina (on refait le match)

Il était une fois, une planète sur laquelle on jouait un drôle de jeu : On appelait ça le capitalismball. Ce jeu subtil voyait s’affronter deux équipes durant un certain temps : Le Team Oligarchico-Ploutocrate (TOP) ; maillot or Prada (équipe A)Le Populo-Olympico-Football club (POF) ; maillot gris Crado (équipe B) Les règles étaient assezLire la suite « Les histoires de Tina (on refait le match) »