C’est donc le 11 septembre 2013 que Salvador Hollandé, président de la république socialiste Française, réfugié avec quelques fidèles au palais de l’Elysée, bombardé par l’aviation putschiste, et refusant de démissionner, mourrait, après avoir résisté plus de sept heures, les armes à la main. Pour l’anecdote, la mitraillette avec laquelle il mettra fin à sesLire la suite « Salvador Hollandé au panthéon »
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Reportage en direct de chez moi
Loin du journalisme assis et Pujadiste, tel le bourlingueur de l’info, l’Orwell de la guerre d’Espagne, l’Albert Londres de Chine et de Guyane, le Thompson du Gonzo, le Kessel mâtiné de Tintin reporter, mon rayon d’action, au cœur de mon 18ème parisien, est bien de 500 mètres, facile. De mon QG pochtron de chez ArsèneLire la suite « Reportage en direct de chez moi »
Le dîner de cons
Déjà, ils lui avaient fait croire que le lanceur d’alerte Snowden se planquait dans l’avion du président souverain de Bolivie. Ça les avaient bien fait marrer. Marrer, jusqu’au moment où, d’extrême justesse, ils avaient du rattraper le coup avant que Flanby fasse donner la DCA et explose Evo Morales en plein vol. De ce jour,Lire la suite « Le dîner de cons »
Moritz Erhardt, mort pour la banque !
Il fut un temps où les jeunes gens mourraient d’amour, tombaient sur les barricades, dans le maquis, les armes à la main. Ils se sacrifiaient à un être, une cause, un idéal, à quelque chose de plus grand qu’eux, donnaient un sens à leur mort, offrant leur jeunesse à une forme d’absolu sublime et tragique.Lire la suite « Moritz Erhardt, mort pour la banque ! »
La ligne plus ou moins rouge
Incorrigible le gars, et con en plus. On te lui dit en grosses lettres rouges qui clignotent « ‘tention mon pote, les armes chimiques de destruction massive nucléaire au napalm c’est la ligne rouge, tu dépasses d’un iota, tu mords d’un poil de cul sur la bande, on repasse la vidéo au ralenti sur BFNLire la suite « La ligne plus ou moins rouge »
De la difficulté de vivre en tongs, tout en restant ‘compétitif’
Affr’euses, Affr’eux, Rue-Affre farniente depuis fin juin. Une certaine lassitude. Un sentiment d’impuissance et de répétitions un peu vaines. Une remise en question, plus divers problèmes personnels et autres galères. Comme la fin d’un cycle. Du 14 au 19 août, Rue-Affre a même disparu des écrans, puisqu’il a, sans explications, été verrouillé arbitrairement ? maladroitementLire la suite « De la difficulté de vivre en tongs, tout en restant ‘compétitif’ »
Où ils vont…
que j’y aille pas… tgb Share |
Ginkgo Biloba saison je sais plus… (7 peut-être…)
« Un optimiste, c’est un homme qui plante deux glands et qui s’achète un hamac « De Lattre de Tassigny Pour ceux qui suivent depuis le début ce marronnier (sic) (y’ en a), mon Ginkgo va bien. Il est paumé dans les herbes sauvages, évidemment plus hautes que lui mais tout à végéter peinard, il seLire la suite « Ginkgo Biloba saison je sais plus… (7 peut-être…) »
Les géants et les nains
Tandis que le géant Mandela, sur la pointe des pieds, nous quitte, lui qui sacrifia 27 ans de sa vie à sa cause et nourrit l’humanité de son humanité, qui hier encore était considéré comme un dangereux terroriste par tonton Sam, saoulé d’apartheid et d’anticommunisme, le bouffon Mariton tout en mocassins à glands, s’en vaLire la suite « Les géants et les nains »
Eloge du larbinisme
« Utilise-moi pendant le temps qui te convient et convient à ton action et à ton casting » Ainsi écrivait, ce qui nous sert aujourd’hui de matronne du FMI, la chienne de garde Lagarde à son petit cheffaillon, distillant en une phrase, l’art de la reptation pour mieux s’élever dans la hiérarchie au-delà de toutesLire la suite « Eloge du larbinisme »