De la galanterie républicaine
A l’élégance toute monarchique
Tandis que tombe la pluie forcément islamique
Et que le dernier des tyrans fait météo modeste
De quels étranges privilèges royaux et rincés
Dans la débandade guignolo-libérale
L’histoire toute en images conservera ?
du geste sacrificiel de l’adulte
A l’aile protectrice paternellement désintéressée
Que reste-t-il du paradis fiscal au parachute disparu
Quand le printemps pluvieux et précaire
S’installe debout et malgré tout ?
Une trace de buée sur une tête de genou.
tgb
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rueaffre2 
« Que d’eau ! Que d’eau ! » (Patrice de Mac Mahon le 26 juin 1875)
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Normal pour un capitaine de pedalo …
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Vent debout, face à la mer, des milliers de milliards de dollars nous contemplent d’une multitude d’iles paradisiaques…Guernesey, debout face à la mer selon la légende (des Siècles), Victor Hugo a écrit quelques uns de ses chef-d’oeuvres. Mais ça, c’était avant…
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Y a au moins vargas liosa qui a un compte off shore à l insu de son plein grè
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Vargas Llosa n’a pas résisté au vent des modes.
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un conte, même off shore, ne fait pas l’histoire
beaucoup de rêves n’atteignent pas le rivage de l’île
la grande évasion c’était Ô’t chôôôse
Jb…abscon…à moins de l’être sans ABS
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Le conte off shore c etait petit l histoire preferee de gattaz
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