
C’était au début des années 2000.
Ma copine m’avait traîné à la biennale de Kassel.
Moi, l’art contemporain j’y connaissais que dalle.
Ça s’arrêtait à Klein ou Warhol et encore…
Un rien réfractaire, voire bourrin.
Je déambulais bougon donc, dans les allées de la Documenta.
Un poil perplexe devant les installations et autres dispositifs visuels.
Et puis d’un coup, je me suis bloqué net, fasciné scotché
devant ça :
Les autres pouvaient aller se rhabiller.
Cette vidéo, des années que je la cherche sans vraiment la chercher.
Ça date des débuts 80 interprété par les lumineux mummenschanz
C’est signé Samuel Beckett
tgb
merci à D.A.
Peut-être que ça n’a rien à voir, mais c’est pas sûr :
(Copiez-collez, je sais pas faire les liens, chez toi, tgb)
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y’a du cousinage c’est certain et c’est vahchement bien mais chez Beckett c’est toujours tellement dépouillé épuré…
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gravement génial ! on dirait le non-dialogue des cultures… courage, évitons-nous !
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ce qui se repousse et s’attire oui « courage évitons nous » bien vu !
Beckett, un habitué de Tanger
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@ tgb
j’ai connu le Tanger de Bowles et de Choukry, que Dieu ait les âmes de ces deux bandits 😉 jamais croisé Beckett hélas…
j’avais découvert Bowles lors d’un déjeuner chez lui, j’en étais reparti sur l’impression dominante d’un détestable personnage.
heureusement, il y avait encore Choukry pour faire la preuve que l’on peut sortir sans tache de la maison du mal…
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j’ai aussi connu Choukry, enfin si peu…mais « le pain nu »…à recommander
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