
C’est le genre de film qui peut vous rendre fier de certains Français, souvent d’origine étrangère d’ailleurs et non pas fier d’être français, vu qu’en général, au grand loto des spermatozoïdes, on n’y est pas pour grand chose.
C’est le genre de film qui pourra aussi vous faire honte de certains Français, du premier d’entre eux notamment, dont la muflerie n’a d’égale que la vulgarité indigne.
C’est pas un scoop mais c’est encore plus flagrant sur grand écran.
Je suis allé voir ce film à Annecy en avant-première et je ne l’ai pas vu.
La salle était comble. Alors j’ai bu des bières.
Mercredi 4 novembre c’est la sortie nationale, j’irai le voir à Paris, ça me changera de l’identité du même nom et ça ne m’empêchera pas de boire des bières à la sortie…
Pour les parisiens donc, une seule salle, une seule adresse possible :
Pour les horaires, vous vous débrouillez , faut pas exagérer quand même…
En prime l’interview du réalisateur Gilles Perret, chez l’indispensable Article 11
tgb
« C’est la faute à Walter »
Pourquoi il faut toujours que ce type de jeu de mot me fasse rigoler pendant cinq minutes ? 🙂
Bonne séance et bonnes bières, alors (HS : d’ailleurs, j’oublie pas qu’on est toujours censé en descendre quelques-unes ensemble ; dès que je retrouve la forme.)
J’aimeJ’aime
parce que c’est un bon mot excellent justement et que j’en suis assez fier (je leur file le slogan même si ils veulent parce que leur titre est est peu mollasson)
j’oublie pas non plus
J’aimeJ’aime