
Je sais bien que chacun a ses petits problèmes.
Bien sûr, ceux des pauvres qui ne sont pas rien mais vu qu’ils ne sont rien (les pauvres) on ne va pas épiloguer dessus et focalisons nous pour une fois sur les problèmes des riches que l’on mésestime trop souvent.
Et ce n’est pas parce que leurs insomnies se font dans des draps de soie qu’on doit les abandonner aux affres et tourments des fins de « moi » difficiles.
Et par exemple qui se soucie des angoisses de Jeff Bezos, fondateur d’Amazon qui ne sait plus comment dépenser ses 76 milliards de dollars et que ça, c’est le genre de tracas qui te fout facilement une journée en l’air vu que c’est autrement plus compliqué d’avoir tellement de bouts que tu ne sais quoi en faire plutôt que de tout simplement pas savoir comment en joindre deux.

Pour répondre à son inquiétante question existentielle, la troisième fortune mondiale a donc posé sur internet ce tweet assez désespéré que je soumets à votre sollicitude :
« Je veux que l’essentiel de mon activité philanthropique serve à aider les gens ici et maintenant – à court terme – autant pour les besoins urgents que pour les effets durables. Si vous avez des idées, répondez simplement à ce tweet avec l’idée (et si vous estimez qu’il s’agit d’une mauvaise méthode, j’aimerais aussi le savoir) ».
Emu par ce sos en détresse, toutes sortes d’idées me viennent spontanément pour soulager tant de douleurs. Par exemple plutôt que de philantroper charitablement, Jeff Bidule pourrait tout simplement songer à payer honorablement ses 132 600 employés en leur offrant des conditions de travail humaines, ou alors même soyons fous, honorer fort civiquement ses impôts plutôt que de filouter.

Mais je sais bien qu’à l’heure où ne pas porter de cravate est un manque patent de respect on ne va quand même pas se complaire dans la vulgarité en prenant toute sa part dans l’intérêt général et la politique ringardement sociale.
Si le monde était bien fait et si nous étions vraiment compassionnels, nous épargnerions bien vite les souffrances du jeune Jeff, non Jeff t’es pas tout seul, en le soulageant arbitrairement de 75 de ses 76 milliards. Le milliard restant devant suffire à priori à lui offrir trois repas gastronomiques par jour.
Ainsi l’argent serait avantageusement redistribué et notre Jeff tout en tension opportunément apaisé.

Mais comme on est de gros salopards pauvres et vulgaires qui aimont sournoisement voir souffrir ces salauds de riches on va le laisser se goinfrer de son pognon jusqu’à l’indigestion.
Quand on ne sait plus quoi faire de son fric c’est sans doute qu’on ne sait plus trop quoi faire de sa vie….

Mon conseil du jour Jeff ? : ton pognon t’as qu’à le bouffer !!!
tgb
Au pays de Macrandy. Ils y sont mais ici ce n’est pas comme dans tous les pays, en prime tu as le coup de botte. Et oui tu as raison qu’il s’etouffe avec son pognon mais ils deviennent drôlement nombreux…
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Macron ne mange pas de ce pain là hihi
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Je ne l’avais jamais vue celle-là. Tu viens de m’achever. Je vais economiser 120 ans pour m’acheter une paire de tongs et filer à Cuba.
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pour la paire de tongs on peut s’arranger…
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Ne ris pas avec ça, tu n’as pas encore idée du prix de la tong au kilo sous l’ère « Si tu veux un costard, il faut travailler.. ». Moi, j’anticipais
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Ne ris pas avec ça, tu n’as pas encore idée du prix de la tong au kilo sous l’ère « Si tu veux un costard, il faut travailler.. ». Moi, j’anticipais
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et en plus tu m’as tout l’air de faire dans la double paire
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et en plus tu m’as tout l’air de faire dans la double paire
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Ton blog bégaie. Il faut répéter ces temps-ci la pensée est trop complexe, supprimons et simplifions toute cette penibilité !
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ah si tu me prends par les sentiments…
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Des pesos des lingots il en a le cul cousu
La famille hypocrite crie vive le tondu
Tonton Bezos vous sentez un peu la chèvre
Disait Mc Rond en lui tendant ses lèvres
(Oui bon, c’est pas du Brel)
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c’est du Pierre Perret qui était un bon pote de Brel revisité par l’excellent Robert Spire
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