
rester léger

fluide

et superficiel

dans la profondeur
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La révolution en tongs
TG.Bertin - formation de philo - consultant en com - chargé de cours à Paris 4 - Sorbonne - Auteur Dilettante, électron libre et mauvais esprit. Voir plus d’articles
Commentaires fermés
Très jolie chute que celle de ce quatrain en langage iconique et verbal, d’une profondeur qui restera à jamais inaccessible aux profanes de la tong en plastoc niçois.
Quand le discours s’épuise, la subversion artistique prend sainement le relais.
Chapeau Camarade.
(Sam Saraindead)
http://sam-saraindead.iggybook.com/fr/
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légitime défense !!! 🙂
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« Quand ça tangue, faut que ça tong », me rappelle ce fameux poème de Mitsuharu Kaneko:
« Si on me demande pourquoi je suis né,
Je réponds sans hésiter : pour être contre.
Quand je suis à l’est,
Je veux aller à l’ouest,
Mon kimono est sens dessus dessous, ma chaussure droite à gauche,
Mes pantalons devant derrière, et je monte à cheval à l’envers.
Ce qui dégoûte les gens, voilà ce que je préfère.
Ce que surtout je hais : les cœurs à l’unisson.
Ce que je crois : être contre, c’est dans la vie
La seule chose magnifique,
Être contre, c’est vivre.
Être contre, c’est se trouver soi-même. »
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Un pur moment de profonde lègèretė
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