
Le relativisme en une leçon :
Picasso disait « Je ne cherche pas je trouve » mais si ça se trouve, il ne trouvait pas il cherchait !
tgb
photo : D.A
La révolution en tongs
Le relativisme en une leçon :
Picasso disait « Je ne cherche pas je trouve » mais si ça se trouve, il ne trouvait pas il cherchait !
tgb
photo : D.A
TG.Bertin - formation de philo - consultant en com - chargé de cours à Paris 4 - Sorbonne - Auteur Dilettante, électron libre et mauvais esprit. Voir plus d’articles
Commentaires fermés
On ne trouve jamais ce qu’on cherche…
La preuve : il suffit d’écouter les »philosophes » actuels pour comprendre que leurs réflexions ne mènent à rien.
Et puis souvent, la découverte est le fruit du hasard.
Vive l’art et les artistes !
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content de te lire cui cui – je tiens quand même à te signaler que tu parles à un philosophe de formation – bon sinon ok il y a deux choses terribles qui peuvent nous arriver – atteindre le but qu’on s’était fixé ou ne pas l’atteindre – dans les deux cas on sera confronté à un grande déception – apprendre à être déçu ou à décevoir est peut-être finalement l’apprentissage d’une forme de sagesse
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Ah merde !
Tu es philosophe de formation ?
Nul n’est parfait… 😉
Ma formation est scientifique. D’où, parfois une vision fort différente de la vie avec certains littéraires épris de philosophie. J’éprouve un immense ennui envers une discipline qui ne m’a jamais rien apporté. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé !
Par contre l’écriture (roman) et l’art, j’y suis fanatiquement converti.
Inutile d’apprendre des philosophes à être déçu ou pire, à décevoir, ce sont les choses les plus naturelles du monde. Comme chercher sans jamais rien trouver : les cimetières sont remplis de ce genre de « penseurs ».
Ravi d’avoir pu discuter le bout de gras avec toi.
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de toute façon les cimetières sont remplis de tout y compris de gens qui n’ont jamais exercé la moindre partie de leur cerveau
ravi aussi
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Les cimetières sont les seuls lieux où riches et pauvres, philosophes et ignorants comme moi, beaux et laids, créateurs et parasites, idiots et intelligents se retrouvent à égalité.
Les philosophes ne font pas assez l’éloge des cimetières.
Cette fois j’arrête. Promis. 😉
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Les cimetières sont le paradis des poètes.
Les vers y sont rois.
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@ cuicui – pourtant s’il est bien une question existentielle pour les philosophes c’est bien celle de la mort qui fut d’ailleurs mon sujet du bac à l’époque
@dav :=)
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« À la facilité avec laquelle l’esprit se satisfait, on peut mesurer l’étendue de sa perte. »
G.F.W.Hegel
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pourtant j’avais entendu du dire que « I can’t get no satisfaction »
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