
Affr’euses, affr’eux, ceci est le billet 1000
tout rond.
Y’’en aura sans doute d’autres
à l’occase. de temps en temps
si j’ai quelque chose d’irrépressible à dire
sinon non.
Sur ces 1000 « posts » pas de quoi rougir
pas écrit trop de conneries durant ces 14 ans !
Fut une période, il y eut jusqu’à 1000 lecteurs par note
on tourne aujourd’hui plutôt à 200…
pas si mal…
à défaut de la quantité reste la qualité
Je ne vous souhaite rien de spécial pour 2021
ces temps-ci vaut mieux avoir le voeu économe
mais le coeur y est et la rage tout autant
et depuis que le masque a tout bien démasqué
c’est les yeux dans les yeux que ça se joue…
et allez comme disait l’excellent Jean Carmet
La seule arme qui m’intéresse c’est le

c’est notre LBD à nous…

à la votre…
tgb
pas mieux, à la notre les 200 + 1
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à la tienne mon 201ieme …
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J’émets quelques hypothèses quant à cette « baisse » de lecteurs :
– Garde à vue,
– Résignation apprise (les cours sont gratuits),
– Drogues dures : style BFMTV,
– Port du masque sur les yeux.
MERCI pour l’ensemble de votre œuvre, passée, à venir, pour toujours.
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hypothèses qui ne manquent pas d’intérêts et de pertinence
et merci à vous trop aimable
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En cette période de fin d’année et d’ambiance de fin du monde, un nouveau « Messager » (ARN…?) nous annonce un prochain grand miracle. Mais si, mais si….
Cher TGB, je survivrai pour lire tes prochains 1000 articles.😄
Vive l’An Vin-Vin et Un !
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cher Robert j’ai toujours comme toi été un grand partisan du désespoir éclairé et tonique – oui nous survivrons !
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Bonsoir Thierry, comme il neige sur Paris (et chez moi aussi) confiné: « Qu’est-ce que le spasme de vivre? » chantait tristement le poète québécois Emile Nelligan. (qui a fini « confiné » dans la folie….)
« Soir d’hiver.
Ah comme la neige a neigé
Ma vitre est un jardin de givre
Ah comme la neige a neigé
Qu’est-ce que le spasme de vivre
Ah la douleur que j’ai que j’ai!
Tous les étangs gisent gelés
Mon âme est noire où vis-je où vais-je
Tous mes espoirs gisent gelés
Je suis la nouvelle Norvège
D’où les blonds ciels s’en sont allés.
Pleurez oiseaux de février
Au sinistre frisson des choses
Pleurez oiseaux de février
Pleurez mes pleurs pleurez mes roses
Aux branches du genévrier.
Ah comme la neige a neigé
Ma vitre est un jardin de givre
Ah comme la neige a neigé
Qu’est-ce que le spasme de vivre
Ah tout l’ennui que j’ai que j’ai. »
Confiné pour confiné, « où vais-je? »…Ben dans ma cave sortir un bon petit Monbazillac pour la soirée….:-)
Santé!
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Ce poème est magnifique et bien de circonstance – puisque tu m’y invites je vais trinquer aussi…
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